Décidément, j’aime aider les gens à raconter ce qu’ils font ou à exprimer ce qu’ils pensent. J’aime aussi les livres et je suis convaincue qu’ils sont de plus en plus utiles pour transmettre des idées ou partager des expériences qui ont besoin d’une certaine longueur. Un article n’est pas toujours suffisant. D’où cette idée de collection qui me trotte dans la tête. Ce n’est pour le moment que l’esquisse d’un pitch. Je vous le livre (!) en l’état, qui sait, peut-être vous donnera-t-il envie de vous associer au projet.
Vous faites des choses utiles, intéressantes, et vous avez besoin d’en parler. Parce que vous avez besoin de trouver des clients ou des partenaires. Ou bien parce que vous voulez défendre des idées dans votre univers professionnel. Partager des expériences qui peuvent servir à d’autres.
C’est souvent compliqué. Il faut mettre de l’ordre dans ses idées. Faire attention à ce que l’on dit. Ne rien oublier.
Et puis, vous avez tendance à y voir un exercice de communication, et vous n’êtes pas très à l’aise avec ça. Devez-vous partager ou séduire ? Transmettre ou convaincre ?
La communication « corporate », pétrie de certitudes et rigidifiée par des « éléments de langage » n’est pas votre truc. Elle ne vous intéresse pas chez les autres, pourquoi y céderiez-vous ?
Vous, si on vous laissait faire, vous aimeriez parler de ce que vous faites, de ce que vous avez fait ou de ce qui vous tient à cœur sur le ton du récit ou de la conversation. Le raconter avec vos propres mots. Avec votre enthousiasme, votre passion ou avec votre modestie, votre sens de la nuance, c’est selon.
Or les occasions de converser sont rares et l’art de la conversation s’est perdu (s’il a jamais existé). Le temps manque, la compétence aussi. Et il y a tant de gens auxquels vous avez des choses à dire.
C’est pour vous que j’ai imaginé cette collection de petits livres que j’appelle pour le moment Raconter ce qu’on (a) fait.
Le vôtre, nous l’écrirons ensemble. Ce sera un petit volume de 50 à 100 pages, illustré si c’est utile, dans lequel vous raconterez des expériences ou vous expliquerez ce que vous faites. Si cela est judicieux, nous pourrons le construire sous la forme d’un dialogue, je vous donnerai la répartie. Vous pourrez aussi, pourquoi pas, demander à d’autres de témoigner : des clients, des collaborateurs…
Une fois votre livre imprimé, vous pourrez le distribuer généreusement, de la main à la main, ou en format numérique. Mais ce n’est pas tout : en l’écrivant, vous aurez aussi peaufiné vos idées, simplifié et imagé votre discours. Vous serez devenu beaucoup plus à l’aise pour vous exprimer oralement sur le sujet, dans des conférences, des présentations ou des conversations informelles. Vous veillerez à en avoir toujours quelques exemplaires sur vous, pour laisser une trace.
Je le répète, ce n’est encore que le premier pitch d’un projet éditorial à travailler. S’il éveille en vous un désir d’en savoir plus, parlons-en !
Une dernière chose, j’ai quelques références qui y ressemblent. Par exemple la collection des Façons de Faire, pour Paris & Métropole Aménagement, ou encore le livre-entretien que j’ai écrit avec Jérôme Le Grelle Immobilier commercial, Regard sur une révolution en cours. Ils sont téléchargeables dans une nouvelle fenêtre.